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ÉPICERIE BELGE CHOCKIES AUTRES BISCUITS Dans le tombeau du pharaon égyptien TI, de la Ve dynastie, des peintures montrent un ouvrier qui attise le feu d’un four où cuisent des galettes. L‘idée d’incorporer à la pâte quelques assaisonnements comme des matières grasses et des produits sucrés suffit à donner naissance à la pâtisserie. Pâtisserie, biscuiterie et boulangerie se sont lentement différenciées au gré des mille et une manières de travailler la farine des céréales. À l’époque de Périclès, les Grecs savent déjà préparer de nombreuses variétés de pains. Les « dipyres », ou pains cuits deux fois, signent la naissance du biscuit. La boulangerie à Rome ne prend son essor que lorsque les boulangers grecs viennent s’y établir. Au contact des Romains, les Gaulois apprennent l’art de la boulangerie et le pain cuit devient la base de leur alimentation. Au Moyen Âge, en Occident, avec l’emploi de la cuisson au four en remplacement des autres modes de cuisson, le biscuit prend une forme qui reste inchangée encore au xxie siècle. C'est à cette époque, dans les coulisses des croisades, qu'on commence à y ajouter des épices de l’Orient telles que la cannelle. Le biscuit est surtout utilisé par les marins à l'époque, puisqu'il restait comestible plus longtemps que le pain. Au xve siècle, on apprécie les « nieules » (échaudés parfumés à l’anis) et les « talmouses » gâteaux feuilletés, régal de Louis XI, qui les aime surtout accompagnés de brie. Il permet aux pâtissiers de travailler le dimanche. L’influence de Catherine de Médicis. Lorsque Catherine de Médicis arrive à la Cour de France en 1533 ; accompagnée de ses pâtissiers florentins, nous découvrons la brioche et les biscuits à la cuiller, ces derniers donnent naissance au boudoir au xixe siècle. Les cuisiniers de Catherine de Médicis apportent également les macarons et les frangipanes, douceurs élaborées par Frangipani, personnalité italienne du xvie siècle au sujet duquel l’histoire ne s’est pas accordée. Au xviie siècle, les biscuits sucrés ou salés sont de plus en plus variés et parfois parfumés ou aromatisés à la vanille, au café, au chocolat, à la noix de coco, à l’anis… mais aussi fourrés à la confiture, aux fruits frais ou secs. C’est au xviiie siècle que naît l’expression « petits fours » qui désigne de petits articles cuits à « petit four », c’est-à-dire à four presque éteint, après la cuisson de grosses pièces. C’est probablement aussi au xviiie siècle que les premières gaufres sont apparues. Issues de l’allemand Wabe, elles étaient souvent vendues dans la rue à la criée. À l’époque moderne, l’utilisation du beurre et la mise au point de nouvelles techniques de préparation de la pâte (le feuilletage par exemple qui est imité du moyen-orient) sont déterminantes. En 1653, le pâtissier François de La Varenne codifie la préparation des biscuits en conseillant le travail « au ruban » qui consiste à faire mousser le mélange de sucre et d’œufs. Les biscuits deviennent plus moelleux. À partir du xixe siècle, la géographie spécialise la fabrication biscuitière : des spécialités régionales se différencient nettement. L’industrialisation de la production renforce le phénomène et prend naissance d'abord en Angleterre puis en France. Vers 1840-1848, à Bordeaux, Jean-Honoré Olibet et son fils Eugène (1843-1915), boulangers de profession, créent la première industrie de biscuits secs avec la marque Olibet qui s'affirme dès 1862-1868. Elle sera suivie par Pernot à Dijon (1870), Lefèvre-Utile à Nantes (1883), la Biscuiterie nantaise (1896), puis Gondolo (1898) et Belin (1902), etc. La biscuiterie sec industrielle française est née à Bordeaux pour une raison simple : la marine marchande et militaire réclamait des biscuits pour ses équipages, sur le modèle de ceux utilisés par la marine britannique, qui consommait du biscuit de mer amélioré. Sous l’influence des habitudes alimentaires et des préférences gustatives des bourgeoisies marchandes des ports du Nord de l’Europe, les recettes des biscuits du Nord de la France sont marquées par l’utilisation de sucres locaux, comme la vergeoise (sucre de betterave) ou importés, tels le sucre muscovado ou encore le sucre rapadura. Les épices, tel le mélange spécifique d’origine hollandaise composé de gingembre en poudre, de cannelle et de cardamome, parfument par exemple les spéculoos. L’histoire politique et les influences allemandes, autrichienne et polonaises expliquent le poids culturel de certains biscuits dans l’Est de la France, tels que le biscuit rose, le goûter sec, le pain d’épices ou la madeleine. Issus de la pâte de pain

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